L'effet des fêtes

 

L'effet défaite mène à la victoire

Nous y voilà, dans moins d’une semaine c’est Noël et Nouvel An suivra dans la foulée. En effet, l’effet des fêtes se fait sentir et c’est comme si c’était fait tant l’effet est fait fort !

On n’y est pas encore mais ça va tellement vite qu’on va se retrouver en 2025 sans s’en apercevoir ! Donc, laissez tomber tout ce que vous avez prévu, le début se fera en janvier. Là, on va faire… les fêtes !

Aussi, de quel livre vais-je vous parler ? De toute façon, pour Noël, c’est trop tard. Quoi que… si vous commandez tout de suite… mais j’en doute ! Mais j’essaie : « Johnny fait son cinéma ». C’est l’histoire d’un voyou au grand cœur qui devient célèbre mais jamais il ne renie qui il est vraiment : un rocker dans l’âme !

Voilà. Et ce sera tout parce qu’on ne se reverra que courant janvier 2025 ; in the year twenty tventy-five, dans le futur !En attendant, je vous souhaite un Joyeux Noël et une bonne année 2025.

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes ! 5 recueils de nouvelles et autant de poésies.)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

Quand Belfort était en Alsace

 

Cette semaine, je vous fais grâce de mes histoires sur Mulhouse. Vittorio qui a écrit un excellent livre sur le sujet (quoi que polar !) s’en va faire deux jours de dédicaces, Salle des Fêtes, à Belfort. Aussi, je vous parlerai de Belfort et de ses amis.

Donc, voici et je vais faire concis !

Il n’y a pas si longtemps, Belfort était en Alsace, il n’avait pas encore le n° 90… (qui est dépassé depuis !) Il faisait partie du Département du Haut-Rhin. Et puis, il y eut la guerre ! (Saleté de guerre des pseudo-humains imbéciles !)

Lors de l’annexion de l’Alsace à l’Allemagne en 1870, le Territoire se battit vaillamment et, suite aux négociations avec les Allemands, ceux-ci ne furent pas trop intéressés par la partie du Haut-Rhin où « on  parlait français » ! Cependant, le Territoire de Belfort ne prit le n° de département 90 que le 11 mars 1922 !

Il reste pourtant très apprécié par les Haut-Rhinois, surtout le Vendredi Saint puisqu’en Alsace on ne travaille pas et on va… à Belfort.

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes ! 5 recueils de nouvelles et autant de poésies.)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

Mulhouse et les 2 Saint-Etienne

 

Photo prise "place des Victoires" là où il y a le grand sapin

Mulhouse est riche en esprit, en croyances et en libertés. Chacun peut avoir des croyances et pratiquer du moment que cela ne porte pas nuisance à autrui. C’est pourquoi on peut y trouver temple, synagogue, mosquée, église ou église réformée, parfois à deux pas l’un de l’autre.

Et, dans « Fabien et le corps évanoui » on peut trouver des passages qui en parlent. Dans celui qui suit, on y trouve les deux édifices qui portent le nom de Saint Étienne (premier martyr, fêté le 26 décembre).

« Celui-ci remonta la rue des Trois Rois, emprunta la rue Henriette, qui porte le nom de la première petite fille née après le rattachement de Mulhouse à la France le 15 mars 1798,  et arriva place de la Réunion, qui porte ce nom pour la même raison : le rattachement, la réunion de la commune libre avec le pays qui la cernait. Il n’eut aucun regard pour les trois majestueuses portes décorées de la Cathédrale ni pour ses flèches ou son clocher néo-gothique de 97 mètres.

Le Temple Saint-Étienne, XIV° siècle, est aussi appelé  la Cathédrale. Ses dimensions en font l’édifice protestant le plus haut de France. L’édifice est souvent confondu avec l’Église Saint-Étienne qui a été construite – ou, plutôt, reconstruite - au XVIII° siècle, quelques rues plus loin. »  

Comme vous pouvez le voir, ce livre n’est pas seulement un polar mais aussi une source d’informations concernant Mulhouse et son histoire.

Je rappelle quand même que les livres de la série « Fabien et … » sont des polars, des enquêtes fictives (quoi que…) en milieu réel, pas des catalogues de voyages. (Quoi que… aussi !) D’ailleurs, le tome 2, L’Identité Enfouie », commence à Belfort et se termine à Colmar ; le tome 3 se situe à Lauw, entre Sentheim et Masevaux.

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

Mulhouse et la Place des Victoires

 

La fontaine et le sapin, place des Victoires

La place des Victoires (1798) est au croisement de la rue du Sauvage, rue de la Lanterne et rue Mercière. De 1985 à 2024, il y avait une Fontaine mais pour les festivités de Noël, elle est remplacée par un grand sapin enguirlandé.

Dans le polar « Fabien et le Corps Évanoui », la fontaine, surmontée d’un immense oiseau en cuivre, l’oiseau de feu, œuvre du sculpteur Gérard Ramon n’est pas encore là. Mais les grands magasins « Monoprix » ou le « Globe » (1910/2014) sont présents rue du Sauvage et font partie des repères de l’histoire.

« L’agresseur traversa la place, bouda aussi l’Hôtel de Ville, style renaissance, avec ses peintures allégoriques en trompe-l’œil et ses deux escaliers couverts et ignora complétement la colonne portant le « Hallebardier ».

Il continua jusqu’à la Place des Victoires et s’arrêta quelques secondes près de la fontaine, au coin de la rue du Sauvage, autrefois appelée rue des Charrons, au XVème siècle puis Wildemannsgass, juste devant la maison natale d’Alfred Dreyfus, célèbre habitant de Mulhouse né le 09 octobre 1859, qui fit exiler, bien involontairement, l’écrivain Émile Zola. Celui-ci, avait fait paraître un article intitulé « J’accuse », en page une du journal l’Aurore, le 13 janvier 1898. Il dut attendre que vérité soit faite sur « l’affaire Dreyfus » et, que le capitaine soit réhabilité et lavé de tout soupçon, pour revenir dans la France de la 3^ème République.

Un Monsieur avec une casquette passa le long des Grands Magasins du Globe, descendit la rue du Sauvage et arriva à sa hauteur. »

Pour info, la maison de Dreyfus, citée ci-haut, abritait au moment de l’histoire le magasin de vêtements pour homme « Patrick » qui, lui aussi, a fermé.

Voilà un polar qui vous fera partager des émotions où l’histoire est présente.

Je rappelle quand même que les livres de la série « Fabien et … » sont des polars, des enquêtes fictives (quoi que…) en milieu réel, pas des catalogues de voyages. (Quoi que… aussi !) D’ailleurs, le tome 2, L’Identité Enfouie », commence à Belfort et se termine à Colmar ; le tome 3 se situe à Lauw, entre Sentheim et Masevaux.

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Mulhouse, le GLOBE et Rouge-sur-Blanc

 

Cette fois, nous quittons la place de la Concorde pour la rue du Sauvage. Fabien l’artiste-peintre suit un homme qui l’intrigue. Il peut l’amener à résoudre son tourment. Voici un passage tiré du polar « Fabien et le Corps Évanoui » :

« Un Monsieur avec une casquette passa le long des Grands Magasins du Globe, descendit la rue du Sauvage et arriva à sa hauteur.

Le grand magasin Le Globe, ouvert en 1910 par un groupe suisse était une « institution » à Mulhouse, une histoire de respect et d’échange entre Mulhouse et la Suisse qui datait d’avant 1515, le célèbre Marignan où Mulhouse se battit aux côtés de la Fédération (d’alors) Helvétique, c’est-à-dire la Suisse. La Fédération des Treize Cantons perdit la bataille contre François 1^er et donc, leurs alliés Mulhousiens aussi ; ce qui ne fit que souder plus fort leur amitié. 

L’enseigne montrait le mot GLOBE écrit en rouge sur fond blanc ; deux couleurs emblématiques choisies pour le drapeau de Mulhouse, le drapeau de la Suisse et le drapeau de l’Alsace. Le Globe, c’était un grand magasin qui portait la Suisse en France et se confondait avec Mulhouse. Il avait été, pendant un siècle, un magasin moteur pour les commerces du centre-ville, un magasin de référence.

L’homme suivi par Fabien échangea, rapidement, quelques mots avec le monsieur à la casquette. »

Évidemment, cette histoire se passe quand « Le Globe » était encore en activité. Il a fermé depuis. À mon avis, et ce n’est que mon avis, la longue déchéance a commencé quand « on » a voulu déplacer la ville vers Porte Jeune. Ça n’a jamais pris, d’ailleurs. La bonne solution, et c’est toujours mon avis, était de déplacer le centre-ville vers la gare et le bâtiment Annulaire (construit entre 1951 et 1954, quartier Gare). Et c’est ce qui est en train de se faire !

Je rappelle quand même que les livres de la série « Fabien et … » sont des polars, des enquêtes fictives (quoi que…) en milieu réel, pas des catalogues de voyages. (Quoi que… aussi !) D’ailleurs, le tome 2, L’Identité Enfouie », commence à Belfort et se termine à Colmar ; le tome 3 se situe à Lauw, entre Sentheim et Masevaux.

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.