samedi 24 septembre 2022

Rio Grande et Eddy Mitchell à... Mulhouse

J'aime ma ville.
 

C’est une chanson de 1977 chantée par Eddy Mitchell : Rio Grande. Eh bien,  elle parle de Mulhouse. Non ? Si ! Et on y sent un peu de tendresse et en même temps de déception de la part du chanteur… « Ce s’ra toujours le blues / dans la banlieue d’Mulhouse ». Ouais !

Cela provient du fait (il paraît) que Claude Moine (M. Eddy) ne connaissant pas bien Mulhouse, et un soir d’après-représentation au Théâtre de la Sinne, en tant que comédien, s’est perdu dans les rues Est de Mulhouse. Quartiers « camomille » 😁 de la ville. Le blues lui a donné la rime.(Merci le Blues 😉)

Mais sache, mon Claude, que le centre ville de Mulhouse, qui va de la gare à Porte Jeune et de la Tour de l’Europe à la place des Augustins, bouge, mange et boit, s’amuse et rit, fait la fête à l’intérieur et à l’extérieur, dans les rues, etc. et en peu de mots : il est animé.

Et j’ajouterai : « Merci Monsieur Eddy de citer ma ville dans une de tes chansons ; ce n’est pas donné à tout le monde ! »

PS pour Eddy Mitchell : j’aime beaucoup cette chanson, comme tant d’autres (La Dernière Séance, Couleur Menthe à l’Eau, Le Cimetière des Éléphants, etc. ou Pas de Boogie Woogie) mais celle que je chante (et joue à la guitare le plus souvent) c’est Sur la Route de Menphis qui est un vrai poème, bien mené et avec une chute. (Comme mes livres, quoi !)

A bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; pf-vd tandem littéraire ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim

, like et partage, merci.

vendredi 16 septembre 2022

Ateliers d'écriture en Sud-Alsace

 


Il y a plusieurs ateliers d’écriture en Sud-Alsace. Ils sont tous performants et les animateurs sont compétents. Bravo à eux pour nous faire partager leurs acquis.

Toutefois, il y en a deux qui me semblent performants et agréables à la fois, où le côté humain n’y est pas absent. Ce sont celui de « l’Espace 110 à Illzach », « poésie-nouvelles » et celui de « La Grange à Riedisheim ». C’est pourquoi je vous les recommande.  

Évidemment, ce qui serait bien, c’est de pouvoir faire le tour de tous ces ateliers pour voir par soi-même la façon de partager et pour rester enfin à l’atelier qui nous convient, là où nous nous sentons le plus à l’aise pour évoluer vers nos aspirations littéraires.

Il y a aussi une autre possibilité : s’informer et travailler par les livres.

Pareil, il y en a de plusieurs sortes mais ceux qui me semblent actuellement les plus complets « pour ne pas rester devant la fameuse page blanche », pour d’aller de l’idée au développement de cette idée, pour connaître les « combines de l’édition », etc., c’est « Écrire et Narrer ; de la Nouvelle au Roman » pour ce qui est de la prose et « Fais-10-Vers, la Rime Pratique » pour ceux et celles qui préfèrent la poésie.

Et puisque c’est la rentrée, j’ose vous proposer une idée : « Et si au lieu de suivre la vie des inutiles de la télé vous arriviez à vous ‘connecter’ avec votre vie… pour la raconter ? »

A bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures ; cap. Margenspat ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni et VittorioDenim , like et partage, merci.

samedi 10 septembre 2022

Sans con-nex-ion

 


Sur le lieu de mes vacances, je n’avais pas internet. Les autres non plus. Cela s’est su, c’est dit et la colère s’est manifestée. « Vous vous rendez compte, il n’y a pas de connexion internet ! »

Quelqu’un est allé se plaindre au gérant. Tout le monde avec lui. « Bravo. Tue-le ! » La foule attendait… mais, pas de cris… rien !

Le brave est revenu calme et détendu, le sourire aux lèvres. La foule a demande : « Alors ? » Le brave a répondu : « Alors, tous va bien. » La foule a précisé : « Mais que t’a répondu notre hôte ? » Le brave a répondu : « Ici, les ondes ne nous troublent pas. Nous pourrons bouger, faire des activités sans être affectés pas les ondes négatives. Notre santé n’est pas menacée. » La foule de mécontents a dit : « Décidément, nous avons misé sur un mauvais cheval ! »

Par dépit, les mécontents se sont mis au vélo sans batterie, à la pétanque sans portable, au canot à rames, à l’escalade à la force de ses… forces, etc. et le soir, ils étaient fatigués… mais… contents ! (En 2 mots.) Il y en a même certains qui se sont mis à écrire et d'autre qui ont lu des livres-papier !

Tout était sans ondes, batteries et autres diableries électroniques… et une semaine a passé ! La foule était heureuse de cette belle vacance et a demandé à prolonger la durée…

Malheureusement, de nouveaux mécontents (en 1 mot.) allaient arriver… et le gérant n’avait qu’une semaine pour leur dire 2 mots.

A bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures ; cap. Margenspat ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni et VittorioDenim , like et partage, merci.

dimanche 4 septembre 2022

Mulhouse en Alsace ; heureuse Europe

© Photo V.DiMarco

L’avantage d’habiter une ville comme Mulhouse, c’est d’avoir tout le bon d’une grande ville tout en se sentant comme dans un village. C’est pourquoi j’y suis et j’y reste !

Évidemment, quelques mauvaises langues vous diront que le centre-ville est un agglutinement de gens qui s’ennuient chez eux ! Pourquoi y viennent-elles, alors ? Que la circulation en voiture est impossible. Dans ce cas, ne venez pas en voiture ; il y a un service de bus, de tram-train, génial et fluide. Que dans les magasins le service laisse à désirer ! Chaque fois que je suis rentré quelque part et que j’ai salué, on ne m’a jamais refusé un sourire et un bonjour ! Etc.

D’autres (mauvaises langues) vous diront qu’à Mulhouse il n’y a rien ! Tout est loin et décentré, que la ville est petite et sert juste de passage pour Belfort, Bâle ou Strasbourg ! Que ça ne vaut pas Paris !

Rumeurs que tout cela. L’aventure est partout pour qui sait voir les sentiments de l’autre. Évidemment, si on ne regarde que son nombril, on ne verra qu’un trou perdu : son nombril ! Alors que Mulhouse est au centre de l’Europe. C’est donc son cœur ! Et tant que le cœur bat, tout vit.

Ah, les mauvaises langues, si seulement elles pouvaient se voir dans un miroir ! Peut-être comprendraient-elles pourquoi tout leur va de travers ; tu tires la langue à un miroir… le miroir te tire la langue mais… c’est toi que tu vois !

A bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

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