jeudi 24 octobre 2024

Mulhouse, 800 ans ou 1573 ?

 


Je continue ma balade dans Mulhouse grâce au livre « Fabien et le corps évanoui » qui, en plus d’être un polar où une enquête va mener Fabien, artiste-peintre, à démêler des intrigues,  est un vrai guide touristique. Voici :

« Et, pour fêter sa première vraie rentrée d’argent, il leur proposa d’aller dîner dans le restaurant panoramique, et tournant, de la Tour de l’Europe.

Le restaurant était situé à quatre-vingt-dix-sept mètres de hauteur, au trente-et-unième et dernier étage d’une tour triangulaire concave. Il faisait un tour complet en soixante-quinze minutes de telle sorte que le client pouvait prendre l’apéritif en regardant les Vosges, le plat principal face à la plaine d’Alsace, le dessert avec vue sur la Forêt Noire et terminer le repas avec le Sundgau et le Jura comme paysage de fond. Pour quelques dizaines d’Euros, on pouvait avoir un repas convenable tout en profitant d’un paysage qui se renouvelle sans cesse.

D’emmener ses amis dans le restaurant le plus haut d’Alsace donnait à Fabien l’impression d’être enfin « arrivé. » Il était maintenant un vrai peintre. »

La tour de l’Europe est mentionnée plusieurs fois dans ce polar. Normal, c’est ce qu’on voit en premier de partout, du Grand-Ballon, etc. ou quand on vient d’Allemagne dès Battenheim ; 12 km en ligne droite !

Les autres polars du même auteur ont pour décor d’autres commune du Sud-Alsace et sont disponibles sur « A A Tandem Littéraire » ; Altkirch, Ferrette, Richwiller, etc.

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

jeudi 17 octobre 2024

Mulhouse, 800 ans ou 226 ans ?

 


Le Festival sans Nom sera de retour à Mulhouse pour sa 12ème édition le 19 et 20 de ce mois. Il y aura des auteurs connus, des inconnus et des locaux comme Jean-Marie Stoerckel. C’est le moment de faire le plein de polars… dédicacés.

Sinon, vous pouvez toujours rencontrer l’auteur du polar « Rouge sur Blanc – Fabien et le corps évanoui » qui se passe entre Mulhouse et Sentheim. 

Ci-après, pris en page 57, un petit historique sur Mulhouse « commune libre » absorbée en 1798 !

« Le Grand Conseil de la Stadtrepublik Mülhausen, à la suite d’un blocus  douanier, mis en place par le Directoire (1795-1799) qui asphyxiait économiquement la ville avait dû voter, plutôt contraint et forcé, le 03 janvier 1798, son rattachement à la France, elle-même jeune république, fille de la révolution. Mülhausen, appelée ainsi jusqu’en 1848, était alors une cité industrielle puissante et prospère convoitée et jalousée qu’il ne fallait pas laisser échapper. »

Les autres polars du même auteur ont pour décor d’autres commune du Sud-Alsace et sont disponibles sur « A A Tandem Littéraire » ; Altkirch, Ferrette, Richwiller, etc. ou Colmar et Belfort. (A une certaine époque, Belfort faisait partie de l'Alsace.)

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

jeudi 10 octobre 2024

Mulhouse, 800 ans - Place de la Concorde

 

Moi, j'allais en face, à l'école Centrale 😉 à l'époque, l'école Cour de Lorraine était pour les filles.

Je continue ma balade à travers le passage des Augustins et me retrouve place de la Concorde.

Et voici ce qu’on peut lire dans le livre « Fabien, Le corps évanoui » en page 56 :

« Les plaques entourant la place sont bilingues et on peut lire le nom « Place de la Concorde » suivi de « Itrachsplatzla » qui vient de d’Itrachs, la concorde et platzlà, la petite place. Le lieu avait pris ce nom en 1798 lors de la réunion de la commune  « république libre » (titre octroyé par l’empereur Charles IV en 1347) à la France. »

Comme vous pouvez le voir, cela fait partie de l’histoire de Mulhouse, la vraie. (De la place de la Concorde, en remontant rue de la Bonbonnière on arrive à l'école Cour de Lorraine.)

Et penser que ce n’est qu’un simple polar, une enquête qui va conduire Fabien vers… Non, ne comptez pas sur moi. Je ne vais pas vous dévoiler la trame !

D’ailleurs, sur le prochain post il y aura des histoires sur Mulhouse pour connaître les aventures de Fabien. Aussi, il vous faudra lire le livre. Eh oui !

Comme quoi on peut s’instruire tout en se savourant une enquête policière. Donc, Fabien va-t-il s’en sortir ? Vous le saurez en lisant la série de Fabien le peintre. C’est tellement possible qu’elle en est au tome trois !

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

jeudi 3 octobre 2024

Mulhouse 800 ans avec Fabien, artiste peintre

 


Suite aux changements de l’écrivain. (Voir mes post précédents.)

Mais, d’abord, Mulhouse fête ses 800 ans.

Voici en extrait pris en page 55 de « Fabien et le corps évanoui », un polar qui nous fait visiter Mulhouse.

" Le Passage des Augustins à Mulhouse est une rue qui tient son nom de l’ancien cloître des Augustins qui s’y trouvait dès 1268. Par la suite, à l’introduction de la réforme de 1523, le lieu avait été désaffecté par les moines et un hôpital avait  remplacé le monastère, de 1538 à 1624.

En 1761, un passage fut percé et un porche, qui mentionne cette date, encore aujourd’hui, permet les vas-et-viens sans avoir à faire le tour par la rue de l’Arsenal ou par la rue des Trois Rois.

Ainsi, Fabien avait choisi cette rue pour être ‘en’ ville sans être ‘dans’ la ville. "

Vous n’avez pas fini d’en apprendre surMulhouse. Et nous n’en sommes qu’à la page 55/256 ! À suivre…

Et j’en reviens à l’évolution de l’écrivain :

Autre chose : bien souvent, les auteurs tuent leur héros à la fin ! Pourquoi ? Pour toucher la corde sensible du lecteur qui s’est attaché au principal interprète de l’histoire ! Et bien généralement, c’est peu crédible ! On sent que c’est fait exprès, c’est dirigé, c’est faux !

Pourtant, un jour, j’ai lu un livre qui m’a plu. Il utilisait bien les recettes de ma mie mais il y avait un tome deux ! Ouah, un tome deux ? Mais puisque le héros est mort à la fin du tome un, comment est-ce possible ?!

Vous le saurez en lisant la série de Fabien le peintre. C’est tellement possible qu’elle en est au tome trois ! 

Par ailleurs, ce dimanche, le 06 octobre, l'auteur serra en dédicace à Illfurth, au salon des auteurs régionaux. Allez le voir, il en sait long sur Mulhouse et sa région. 

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Pour plus de lecture voici les blogs de mes amis : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni, Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.