Victor Hugo, ce héros aux écrits

 

Aujourd’hui, 26 février, serait l’anniversaire de la naissance de Victor Hugo ; 26/02/1802. Personnellement, il m’a laissé des enseignements et, de par ses écrits, des renseignements.

Tout d’abord, c’est grâce à lui que je sais que Besançon avait eu quelque influence espagnole : « Alors que Besançon, vielle ville espagnole / Jeté comme la graine au gré de l’air qui vole / Naquit d’un sang breton et lorrain à la fois / Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix… » (Les Feuilles d’Automne – 1831) et c’est grâce à lui que je connais une poésie très belle (et je suis sûr qu’il aurait préféré ne jamais l’écrire…) : Demain, dès l’aube… (Les Contemplations – 1856), poésie écrite à l’intention de sa fille Léopoldine décédée quatre ans plus tôt.

Ensuite, Victor Hugo est un romancier de génie - et je ne parle pas de ses pièces de théâtre, mais de ses livres ; ouvrages qui sont devenus des films ou des comédies musicales connus comme « Notre Dame » ou « Les Misérables ».

Pour finir, j’éviterai de vous parler des autres facettes de Victor Hugo pour être bref car il était aussi, entre autres, « humaniste » ou simplement dessinateur.

Donc, je m’arrête là.

Bon, je sais que mes livres ne sont pas à comparer avec les siens mais lisez-les quand même. Je suis certain que nous avons quelque chose en commun : la sincérité. Aussi bien pour les poésies que pour les nouvelles. 

En image, un peu d'histoire de Mulhouse. 

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur (Pour toi, beaux yeux, appelle-moi 'Antony'😉)

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

De retour à Mulhouse

 

Les vacances scolaires, c’est bien mais faut pas abuser… sinon gare au porte-monnaie ! Et je devrais plutôt dire au portefeuille, voire à la CB ! Tellement c’est cher les sports d’hiver.

Pourtant, je me souviens que c’était, et il n’y a pas si longtemps, à la portée de tous. Mais voilà, le co-co-vide est passé par là. L’agression de l’Ukraine par le poutine et ses coco-pains de mauvais augure ensuite. L'Europe des Douze est menacée et les prix ont flambé. Du coup (de feu) la neige a fondu et les prix ont monté ! La prochaine fois j’irai au camping de l’Ill, c’est près de chez moi, à 5 km, et je pourrai y aller à pieds.

On ne sait plus comment faire des économies. Tu bouges ! Tu paies ! Tu ne bouges pas ? Faut payer la taxe de séjour ! Tout est prévu pour te délester des quelques sous que tu as pu gagner avec peine et parcimonie.

Ouf ! Il me reste le livre. Pas trop onéreux. Il permet de voyager, de rêver, de comprendre, de savoir… mais pour combien de temps ? Le savoir est une arme, nos dirigeants le savent bien ! Et pour tenir le peuple, il faut le maintenir dans l’ignorance !

Bof, en attendant le devis, je lis et je dis que je vis… plusieurs vies. 😉

À bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

Quand la Saint-Valentin s'étend, méfiance

 

Cette année, pour la Saint-Valentin, vous avez le choix pour emmener votre femme au restaurant. Le 14 tombant un mardi, vous pourrez le faire du samedi 11 au samedi 18. (Ou tous les huit soirs !) 😉

Sinon, et puisque tout le monde travaille le 14, jour du saint, prévoyez de prendre libre le mardi et le mercredi. C’est aussi une façon de marquer la fête. Vous pourrez ainsi aller le mardi soir au restaurant pour terminer une belle journée passée ensemble et vous reposer le lendemain pour être en forme au turbin le jeudi matin.

Le seul problème (fin de la séquence poésie !) est pour les entreprises ; « Et si tout le monde prend le mardi et le mercredi de libre ? » Il n’y aura plus une entreprise qui tournera. C’est comme quand on fait la grève ! Du coup, ça va devenir le ‘saint patron des syndicats’ ! Déjà qu’on se fait tondre par les patrons, on se ferait léser par les syndicats aussi ? Ce serait dommage.

Sans compter que ce serait le début de l’escalade : chaque saint du calendrier serait détourné. Saint Honoré est déjà le saint-patron des boulangers, Sainte Barbe, des artificiers et tirailleurs, Saint Matthieu, celui des banquiers, Saint Hubert, celui des chasseurs, etc. Actuellement, chaque métier, chaque corporation a son saint. À quand Saint-Valentin, patron des syndicats ? Et tiens, pourquoi pas patron des patrons et des syndicats !😁

Et tour ça, juste parce qu’une fête tombe en milieu de semaine. C’est dingue !

En image, un peu d’histoire de Mulhouse. Vue du nouveau quartier, construit dès 1827, c’était celui des industriels qui avaient réussi. Dans le fond, au milieu, la S.I.M., Société Industrielle de Mulhouse, société savante fondée à  Mulhouse en 1826 mais existait déjà depuis 1806. Au milieu, entre les immeubles, le square de la Bourse qui date aussi de 1926.

A bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.

Faire sauter les crêpes

... à défaut de ... fûts 😁
 

L’homme est un animal bizarre. Il ne pense qu’à faire sauter, tout faire sauter. Ben, si ! De sauter sa copine à faire sauter la maison de son voisin en passant par sauter de l’avion ou sauter à cloche-pied ; une aventure !

Ne riez pas mesdames, si vous avez des sentiments, comme dit ma copine Carmen : « n’oublions pas que la moitié des Hommes sont des femmes » et comme elle est contestataire et féministe ajoute : « … et l’autre moitié des fous ! »

Tiens, parlons-en des fous ! Les Hommes sont fous. Ils ne pensent qu’à tout faire sauter (Rumeurs), sauter à la poêle, faire sauter les crêpes, sauter à la corde ou jouer à saute-mouton. À cela on peut ajouter ‘saute d’humeur’ ou sauter un repas. Il y a de quoi faire sauter les plombs ! Certain(e)s sont prêt(e)s à reculer pour mieux sauter, voire sauter au cou de quelqu’un(e), juste pour faire sauter la banque ! Tu vois le tableau ?

Mais, là, je ne veux pas sauter du coq-à-l’âne mais juste sauter le pas pour faire sauter le bouchon de cidre qui accompagnera mes crêpes sautées. Hum, de la poésie !

Heureusement que nous avons des poètes pour calmer ces excité(e)s !

En image, un peu d’histoire de Mulhouse. A bientôt et bonnes lectures. (Les miennes !)

Ant (Antoine) Askman, auteur

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco et VittorioDenim, like et partage, merci.